Décès Francis – Condoléances et autres messages
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Sauf avis contraire de votre part, les messages adressés par mail, directement à la promotion, seront insérés dans cette page de condoléances.
Un tirage sera fait pour être intégré aux livres de condoléances (ou remis à la famille), lundi à Avon.
Merci Françis pour l’exemple que tu as montré tout au long de ta vie professionnelle puis civile. Je retiens surtout l’humanisme que tu as su insuffler au sein d’AOP Souvenir.
Madame,
Au nom de toute la Promotion Lt Chezeau, dont il fut l’un des voraces en 1977-78, je souhaite avec ces quelques mots rendre hommage à votre mari, cet officier, qui par son moral et son physique, fut un exemple pour nous tous.
Sa réputation dépassait de loin les rangs de sa section et outre ses prouesses sportives, son régime alimentaire et … vos parties de tennis, bien d’autres souvenirs se bousculent aujourd’hui dans nos esprits.
Ainsi, grâce à lui, ces « souvenirs » nous rappellent que le bien, le beau et les valeurs d’honneur, de fidélité et de persévérance doivent rester le but de notre course.
Veuillez recevoir, Madame, nos très sincères condoléances.
« Il y a quelque chose de plus fort que la mort…C’est la présence des absents dans la mémoire des vivants. » Jean d’Ormesson
Je vous présente, Madame, mes respectueuses condoléances.
Cher Francis, à bientôt.
C’est avec une grande tristesse que je viens d’apprendre le décès de « notre » chef de section de Coëtquidan.
L’élève officier que j’étais garde le souvenir d’un homme droit, déterminé et humain. L’officier que je suis devenu par la suite aura eu à cœur d’essayer d’appliquer les principes que vous nous avez inculqués. Oui, c’est une grande peine, mais c’est l’inexorable roue de la vie, vous dont les qualités sportives n’étaient plus à démontrer.
Je ne garderai volontairement que deux souvenirs de vous, mon « capitaine », en forme d’anecdotes amusantes.
La toute première séance d’instruction du maniement du sabre où nous avions tous exécuté ces premiers mouvement mais à l’envers. Chaque membre de la section doit s’en rappeler et se souvenir du pourquoi que je garderai comme un petit secret entre nous tous.
Et puis cette première fois où, désigné comme chef de section pour un exercice, je vous ai vu arriver vers moi alors que j’essayais péniblement d’ouvrir ma boite de thon de ration et me disant « On y va ». Vous veniez de terminer votre camembert et votre pomme, mes doigts dégoulinaient d’huile. Ah ce fromage et ce fruit nous ont tous bien perturbés. Certes vous étiez notre chef de section, vous n’en aviez pas moins toute notre affection.
Reposez-vous aujourd’hui, mon « capitaine », pour votre dernière traversée en courant. Pour ma part j’ai été heureux de vous revoir bien des années plus tard à Joinville et je vous remercie d’avoir été l’officier que vous étiez, qui a très largement contribué à faire celui que j’ai essayé d’être.
Je présente à toute votre famille mes condoléances très sincères.
Alain Chochois – Promotion Lieutenant Chezeau et ancien élève de la section de Barbeyrac.
Fin octobre dernier, j’ai eu un échange de courriel avec Francis à propos d’une lettre qu’il avait envoyé à l’hebdomadaire « Famille Chrétienne » qui avait été publiée dans le forum des lecteurs. C’était pour le féliciter de sa prise de position et de sa hauteur de vue qui va beaucoup nous manquer. Je vous exprime ma profonde sympathie, et je prie pour votre défunt et pour vous tous, en demandant à Dieu qu’Il l’accueille dans sa grande maison de paix et de lumière et qu’Il vous accorde beaucoup d’espérance pour continuer la route, forts de tout ce que vous a apporté votre histoire familiale.
Madame,
J’ai appris avec beaucoup de tristesse le décès de Francis.
Je garderai toujours le souvenir de sa gentillesse, de sa force de caractère et des bons moments à courir ensemble.
Mon épouse et moi-même partageons avec les camarades de la promotion la douleur qui doit être la vôtre et celle de vos enfants.
Anne et Hervé TARTARE
Mon cher Francis. Surpris, peiné par ta disparition. Tu étais l’âme de cette promotion et comme l’écrit Maurice Baune la locomotive, le moteur de la Souvenir. Tous ces témoignages en sont la preuve. A ton épouse à tes enfants, petits enfants à tes proches, je présentes mes sincères
condoléances; ils peuvent être fiers de l’image, de l’exemple que tu es, et que tu laisses à tous ceux qui te connaissent.
Bonjour,
Elève officier de la promotion Chezeau en 1977, j’ai côtoyé le capitaine De Barbeyrac, et même si j’appartenais à la section voisine au sein de la 2° brigade, je n’ai jamais oublié l’image exemplaire et le fort rayonnement qu’il dégageait. Admiré de tous, je retiens de lui qu’il m’a donné le goût des courses très longues distances que j’ai découvert sous son égide et continué à pratiquer par la suite.
Je suis très peiné de le voir quitter cette terre et je présente à sa famille mes sincères condoléances.
Colonel (er) Jean Pierre OMBRET.
Gérard LE CRUGUEL
Mon très cher Francis,
Quelle ne fut pas ma surprise d’apprendre ton départ si soudain ?
Tu aurais dû être un des derniers d’entre nous à prendre le train de la mort.
Mais la vie connaît parfois d’incroyables coups de théâtre.
Tu as été un formidable président de promotion, alliant compétence, dynamisme et humanité.
Tu étais, entre autres, notre Assistant Social et Amical. J’en sais quelque chose !
Au travers de mes multiples épreuves de santé, tu as, comme pour bien d’autres camarades et épouses, toujours été présent pour nous accompagner, nous réconforter et nous encourager.
En plagiant un peu Brel, je te dis :
« Adieu l’ami, je t’aimais bien, tu sais,
Tu prends le train avant l’mien.
Mais on prend le train qu’on peut »
Gérard
Dernière publication sur Maréchal un jour : Pour rester en phase avec son temps
Chère Madame,
C’est avec beaucoup de tristesse que j’ai appris le rappel à Dieu du colonel de Barbeyrac. Tant de souvenirs lointains me sont soudain revenus.
Coëtquidan, 78/79, il était alors chef de section de la 2/2ème brigade de l’EMIA et j’étais un de ses EOA.
Nous ne nous sommes jamais revus depuis, mais j’avais suivi ses exploits sportifs et la poursuite de sa carrière de Soldat…Et puis il avait eu la gentillesse de m’ adresser, après que j’ai quitté l’Armée fin 1999, une très belle lettre qui m’avait touché au cœur.
Puisse Saint Michel l’introduire à présent auprès de Dieu et puisse-t—il connaître la joie sans partage de Le contempler face à face pour l’éternité!
Puissiez-vous aussi trouver dans la Foi qui nous anime la force de surmonter cette bien dure épreuve, avec toujours au cœur l’inébranlable Espérance qui est celle des chrétiens!
Soyez assurée, chère Madame, de mes pensées et prières pour vous-même et votre famille.
Avec mon très fidèle et respectueux souvenir,
Col (er) Jacques Hogard, Promotion Général Laurier.
J’exprime mes sincères condoléances à Mme de Barbeyrac et toute sa famille à l’occasion du retour au Père de Francis de Barbeyrac, mon instructeur à Coëtquidan au sein de la promotion Général Laurier. Je garderai toujours le souvenir d’un officier très humain et droit qui nous a donné un exemple remarquable pour notre carrière. Puisse son âme reposer dans la Miséricorde de Dieu, lui qui, marqué du sceau de la foi, dort maintenant du sommeil de la Paix.
Colonel (er) Jacques de Foucault
Dernière publication sur Maréchal un jour : Pour rester en phase avec son temps
Je suis particulièrement touché par la disparition de Francis même si je l’avais un peu perdu de vue car membre peu actif de l association mais j avais toujours plaisir a lire ses mails à l’occasion des événements importants de la promotion. Tu t étais très investi dans ton rôle de président.
J’adresse à sa famille mes plus sincères condoléances
Gilbert Koch
C’est avec une grande émotion que nous avons appris la triste nouvelle du décès de Francis.
Pour nous, Francis, ce sont de bons souvenirs de notre jeunesse à Coëtquidan et Montpellier.
Il était un bon camarade qui a su fédérer notre Amicale.
Nous ne garderons que de bons souvenirs de lui.
Edith et moi, présentons à ses proches et amis, nos très sincères condoléances.
Nous serons tout près d’eux par la pensée ce lundi.
Quel choc,jamais je n’imaginais te voir partir ci vite,toi le sportif,toujours partant pour les grands randonnées.Avec la Présidence de l’AOP ton soucis était de faire vivre LA SOUVENIR,de ne laisser personne au bord du chemin en toutes circonstances….et tu nous quittes ,nous sommes un peu KO debout .
A nous maintenant de reprendre le flambeau pour que perdure ton action, ta volonté de rester uni jusqu’au dernier.
Françoise se joint à moi pour adresser à Monique et ses enfants nos sincères condoléances.
Françoise et Jean martin LEGOFF
Monique, un choc immense pour tous.
A coet , dans l’equipe de cross j’ai essayé de courir comme Francis mais c’est quand je l’ai retrouvé dans les réunions promo que j’ai decouver outres ses qualités d’athlète, une grande gentillesse et une joie de vivre qui illumine ceux qui l’entourent. Si la SOUVENIR est heureuse de se retrouver, cela est grâce à lui.
Comme tous ceux de la Promotion Souvenir, je suis très touché par cette disparition subite de notre Président, un camarade de grande valeur, dévoué, attentif et généreux.
Je me souviendrais toujours de son « aura » à Coëtquidan par ses exploits sportifs exceptionnels dont j’étais admiratif.
Je partage la grande tristesse de notre Promotion et fais parvenir toute ma sympathie à sa famille .
Claude Gardien
Chère Monique,
Notre promotion a perdu un président dévoué et efficace oeuvrant en permanence pour la cohésion et la continuité des liens de camaraderie.
Au plus profond de votre tristesse, vous vous souviendrez que malgré l’éloignement, nos coeurs sont proches du vôtre et que nos pensées vous accompagnent dans ces moments difficiles.
Avec toute notre compassion, recevez nos sincères condoléances.
Marc et Eliane HENNINGER.
Nous ne nous sommes certes pas souvent revus après notre formation mais deux images sont cependant gravées dans ma mémoire.
Je te vois toujours arrivant en coup de vent dans notre réfectoire et repartir aussitôt avec un fruit et un morceau de fromage pour aller
t’ entrainer !… et quelle surprise quand à la fin de notre formation , je t’ ai doublé (en voiture;;;) un peu avant LE MANS alors que tu te rendais à MUNICH
Pour l’ ouverture des J.O. J’ étais en famille et nous sommes allés t’ accueillir et passer un moment avec toi en fin d’étape.
Un grand merci pour le travail accompli à la tête de l’ AOP et toutes nos condoléances à ta familles et à tes proches avant de te retrouver sur un autre chemin…
Tu es parti trop tôt Francis. J’adresse mes sincères condoléances à ta famille. RIP.
Prenant la relève de l’équipe qui avait mis l’AOP sur ses rails, tu avais, Francis, mené la tienne avec brio, pour faire de celle-ci ce qu’elle est aujourd’hui : une réussite.
Tu as démontré et su fédérer de telles qualités ! Quelle humanité aussi, et quelle efficacité !
Francis, tu étais un « grand » et ton souvenir restera longtemps dans nos coeurs et dans nos esprits.
Merci Francis, et « Que vive l’AOP SOUVENIR ».
Olivier de Carvalho